• Edward Diggory (PNJ)

     Faction : Fidèle

    Nom : Diggory

    Prénom : Edward

    Age : 1736 ans (apparence : 150 ans)

    Genre : Masculin

    Espèce : Vampire

    Lieu de naissance : Isle de la citey, Parri

    Armement (la magie est une arme) : Crocs, griffes, poignard, poison, épée, yeux hypnotiques.

    Apparence : Vieux pervers dégueulasse croulant au sourire jaune, rides, chevelure noire éparse, peau blafarde et ridée, sait cependant s’imposer grâce à sa voix tonitruante.

    Temps passé dans le Château : 667 ans

    Temps passé au sein de l'Ordre : 418 ans

    Résistance à la douleur : Élevée

    Allergie alimentaire : Sang de groupe sanguin AB.

    Passions autres, exploitables : Aime particulièrement assouvir ses besoins avec de jeunes éphèbes (consentants ou non (mais consentants de préférence, c’est moins pénible)), rêve de trouver l’amour et de pouvoir faire plein de trucs avec lui. Peut changer d’apparence très facilement lorsqu’il a une quantité de sang suffisamment importante en lui (lorsque j’ai bien bouffé quoi) et devient alors un jeune homme séducteur au sourire éblouissant, ses yeux rouges deviennent particulièrement attirants, sa peau lisse brille au soleil, et il peut manipuler n’importe quel futur amant. Ce don a particulièrement été utilisé dans le passé lorsque le Général Diggory n’était alors qu’infiltré.

    Le Général passe pour bisexuel auprès des Félons et utilise cet avantage pour faire croire que toutes les demoiselles et tous les messieurs qu’il invite dans son bureau pour prendre une tasse de thé (et de sang pour moi, wesh) font des choses avec lui, alors qu’en réalité, il sert de relai entre Dvango, le Château et certains fidèles (J’aime trop forniquer avec le Seigneur pour m’en passer (même si je dis pas non lorsque certains petits mâles sont particulièrement séduisants, auquel cas j’invite aussi des félons dans mon bureau...))

     

    Précision : Les notes entre parenthèses ont été ajoutées par le Général lui même, qui a affirmé qu’il était certainement la personne qui le connaissait le mieux et qu’il était le plus à même de se décrire (C’est évident, non ? Mais bon, j’vous pardonne. Quand on est con, on est con).

     

     

     


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